Bio.
O-kok

  • Origine
    Tours, FR
  • Liens
    Facebook Twitter
  • Genres
    Electro · Hardcore · Hardtechno · Melodic · Techno · Trance

Un parcours varié. De l’électro au hardcore.

Débute dans la musique, au début des années 90, sur la scène du demomaking, intégrant des groupes comme « Replicants », « Dnt-Crew », puis Arsenic qu’il fondera sur Atari.

C’est sur cette même scène qu’il fera la rencontre de Number SiX (Aegis Corp), avec lequel il décidera de s’impliquer dans ce courant musical alternatif, à Live act O-kok glazartl’époque, avec pour objectif de partager cette passion, la musique.

Sa rencontre et collaboration avec le label P.O.F. Records (pour lequel il réalisera le site web), Fred Giteau & Heyoka qui seront deux excellents mentors, lui permettra de croiser de grands noms de la scène trance parisienne comme Joking Sphinx, Amtinaous.

L’aventure POF se terminant, il décide alors de fonder, avec quelques comparses, un collectif communautaire pour regrouper des passionnés de musique électronique, autour d’un média récent (à l’époque), et c’est ainsi que nait le site internet « Francecore.org », autour duquel se sont ralliés un grand nombre de musiciens connus ou non.
L’impact du site internet lui a valu d’être chroniqué par Canal +, Tracks (Arte), TF1, mais également cité dans « L’histoire de la musique électronique » (éditions Microsoft) – par Daniel Ichbiah.

Devenu beta-testeur pour la société Arturia, il fera la connaissance de Jean-Michel Blanchet (Jaïa), producteur de trance émérite.

De ces diverses rencontres résulte une influence musicale trance et soundchip (musique informatique) très prononcée, et quasi omniprésente dans tous les titres que O-kok réalisera. C’est dans un esprit de partage et d’échange qu’une cinquantaine de titres seront produits, et diffusés gratuitement sur le site web sous les pseudos « Koko » / « Koronis » et « Transorbital Lobotomy ».

koko2A la fin des années 90, O-kok devient résident au Gibus Club (collaboration avec Stéphane Taïeb et Mazen), à Paris, pour les soirées trance « Virtual Moon », ce qui donnera lieu à une dizaine de prestations live. Par la suite, il jouera également dans un grand nombre de club et salles parisiennes, telles que Le Gibus, Le Glazart, l’enfer, le Folies Pigalle, Le nouveau Casino, La fuite de gaz, ainsi que pour divers galas ou soirées étudiantes, Gala Pharma IV, Supelec, Gala Nfio ou le Pix Festival à Lille. Ces diverses prestations lui auront permis de réaliser ses lives aux cotés d’artistes connus sur la scène électronique, NoiseBuilder / Heretik System, Coretex-Lab, Radium (Audiogenic), Double Face (Model), Stamba (Deviation Sociale), Asta (Bassadonf), Teknambul, Metek, Woxo (TTc), Kor Factory, Nout (Diable au corps / Heretik), Beun’s aka Electrobugz (Heretik), Banditos, Mazen (techno import), Digital Fracture, Neurocore, Lobotomix, Lawrencium (Destruction Records), Rotator (peace off), Fist of Fury (Phantasm Records), Armnaguet Nad, Wazif & Kapnist, Le Cercle Noir, David Duriez, Senix, Axiome, Max / Tof & Oury / Architek, la team Bassadonf et bien d’autres.

996493_570551379663151_2028964929_nUne prestation live éclectique, progressive et surprenante, oscille entre ses influences musicales, pouvant commencer lentement et finir de façon très agressive, déroutant pour le public mais toujours efficace.

Fin 2012, il fonde, avec l »aide de deux comparses, le label Roxxx Records, avec pour objectif de mettre en avant des découvertes auditive et toujours cette optique de partage.

‘O-kok’, ‘De l’électro au hardcore, en passant par l’ambient, des sorties imprévisibles, mais intéressantes.